Résistance au terrorisme islamiste : « Faire Face » Georges Guynemer
Depuis l’attentat de Nice et la polémique qui s’est ouverte sur les mesures de sécurité prises pour la soirée du 14 Juillet 2016 considérées comme insuffisantes, les annulations de festivités ou d’évènements importants se succèdent en cascade : le meeting de la Patrouille de France à Marseille, le traditionnel feu d’artifice de La Baule, le championnat d’Europe de cyclisme sur route à Nice, des festivals de cinéma en plein air à Paris, à Marseille, les Plages musicales à Berck, des manifestations de la Nuit de Etoiles partout en France, des concerts en plein air à Mulhouse et à Toulouse, d’autres manifestations à Avignon, Aubagne, Collioure, Grasse, Nice et dernièrement la Grande Braderie de Lille …
S’ajoute à cette liste le parc aquatique Speed Water Parc à Marseille « privatisé » le 10 Septembre 2016 pour les femmes en burkini et enfants garçons jusqu’à 10 ans – prescriptions AWRA islamiques ou islamistes ?
Force est de constater que la voie de la soumission selon Michel Houellebecq semble bien ouverte et que la réponse des Elus, par sa très grande faiblesse, n’est évidemment pas à la hauteur de l’enjeu vital pour la France, pour ses valeurs et pour son avenir.
Pourquoi ? Alors que la France est en guerre – toute la classe politique l’a dit et redit, à commencer par le Président de la République – dans une configuration difficile, que font nos Elus, notamment les Maires : invoquant l’impossibilité d’assurer la sécurité des manifestations et des festivités par l’insuffisance des moyens, ils les annulent.
Les Maires devraient bien sûr rappeler et préciser que la sécurité absolue n’a jamais existé et n’existera jamais quelque soit les moyens mis en œuvre et donc qu’il convient, face à cette limite indépassable, de maintenir les manifestations prévues, libre à chacun, informé des dangers potentiels, d’y participer ou pas.
Enfin, pour symboliser cet acte de résistance nécessaire face au terrorisme islamiste, nos Elus devraient parcourir régulièrement les manifestations comme le Premier Ministre Winston Churchill le faisait en se promenant dans Londres parmi la population durant l’été 1940, après les bombardements de la Bataille d’Angleterre.
Alors, la France, avec son Peuple et ses Elus en tête, signifierait au Monde sa détermination à mener sans faiblesse la guerre contre le terrorisme islamiste. Le renoncement perceptible serait vaincu. Le premier pas essentiel serait dès lors accompli.
Michel MERCIER
Président de l’Union Gaulliste pour la Démocratie
Président Fondateur Les Républicains